Un syndicalisme autogestionnaire et sans permanent

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SIPM

Ca presse n° 1

hiver 2002-2003

samedi 5 juillet 2003

Ca presse n° 1 : de la grève à France 3 à celle de France-Soir, de l’attaque sur les droits d’auteur aux conditions de travail à Infopress... l’hiver est chaud !

3 enjeux pour France 3
L’audiovisuel public en grève, les salariés se retrouvent exposés à une dure réalité : les médias, lorsqu’ils en parlent, réduisent le conflit à une question salariale. Pourtant, la grève a bien d’autres enjeux.

Le net pas très net avec les e-journalistes
Bienvenue sur le Net ! Liberté, réactivité, gratuité... Internet devait marquer l’apogée de l’ère de l’information. Mais les façades de verre et d’acier se lézardent : précarité, droits bafoués, information maltraitée...

Bellini rise again
De fusion en fusion, Bellini, la caisse des journalistes, grossit, grossit... Au profit de ses affiliés, les professionnels qui cotisent ? Douteux... Au profit de ses salariés ? Certainement pas...

Coup bas sur les droits d’auteur
Les droits d’auteur, c’est dépassé ? Comme le syndicalisme ? Ben voyons ! Les photographes ne sont pas prêts à laisser leurs oeuvres en pâture au marché !

Les matins blêmes de France-Soir
Depuis que les Italiens de Poligrafici Editoriale ont racheté « France Soir » pour un franc symbolique, la tendance est au sit-com cheap, avec Philippe Bouvard en guest-star... dur !

Gratuits : la « menace fantôme »
Surgis de la nuit, les gratuits prospèrent, même si leur rentabilité n’est pas encore assurée. Mais qui sont-ils ? Où vont-ils ? D’où viennent-ils ? Eléments de réponse...

Stagiaires : de la servitude volontaire...
Dans le bateau : un jeune stagiaire aux rêves fous et une rédaction au budget compressé. A la fin du stage, qui tombe à l’eau ?

Brèves : Infopress compresse ses salariés, L’Huma

Secteur presse : un an après
Un an après les premiers pas du secteur presse, un bilan plutôt positif... et des perspectives.

C’est le secteur presse que v’là !
L’information n’est pas une marchandise… ceux qui la font non plus ! Il est temps de s’organiser pour résister aux logiques patronales